Toute la situation de la société capitaliste internationale comme nationale se caractérise par une explosion de ce qui structure la nation, la fraternité, le vivant.
L’impérialisme occidental est en déclin accéléré du fait de sa dette monétaire phénoménale liée à l’accaparement majeur des richesses produites au point de nuire à la production de celles-ci et à la survie même de l’espèce. Sa seule issue actuelle est la fuite en avant dans la guerre.
Les victimes en sont ceux qui vivent de la seule vente de leur force de travail de l’ouvrier précaire ou chômeur à l’ingénieur, du simple employé ou employable au médecin, du jeune déshérité à l’enseignant… Ils constituent tous le prolétariat dont les intérêts divergent profondément de ceux des rentiers, actionnaires et autres profiteurs de la force de travail.
Tous souffrent et voient chaque jour des divisions idéologiquement fabriquées par les riches, s’exercer entre eux et les pousser à ne pas se reconnaitre.
Ainsi, les émeutes de pauvres seraient dépourvues de sens politique du fait qu’elles n’en revendiquent pas… propagande de déni d’intelligence !
L’heure est à l’unité de tous ces prolétaires pour repousser les divisions fascisantes qui ne serviront que le renforcement de leur exploitation et aggraveront les souffrances de tous.
L’heure est à oser se mettre ensemble pour repousser ce monde et oser inventer une voie collective.
La souffrance s’exprime partout, unissons-nous !
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