Dans son numéro d’indignation d’aujourd’hui contre l’évasion fiscale des ultra-riches, on voit le manque de répétitions et le personnage d’imprécateur lui échappe complètement.
Tout cela vire à la parodie.
Le jeune homme de la startup nation stagne dans sa prestation, loin du compte (si l’on peut dire pour le ministre du Budget).
Il lui faudra encore travailler, et travailler et travailler encore pour convaincre du personnage dont il emprunte les propos.
Les cours d’art dramatique pris auprès de son ami, ex-comédien, élu Président, sont d’une insuffisance crasse.
Gabriel Attal, nouveau chevalier blanc, il vaut mieux en rire faute d’avoir à en pleurer.
Seuls les journalistes présents prennent ces menteries pour argent comptant.
Comment ont-ils pu déjà oublier l’homélie du Président au profit et aux investissements des multinationales pillant nos richesses et slalomant au milieu de nos lois ?
Comment peuvent-ils oublier que l’essentiel de ce vol des produits de notre travail, se niche dans les lois d’optimisation fiscale que nombre de gouvernements, y compris ceux de Macron, ont inventées.
Le seul intérêt du propos de Gabriel Attal réside dans l’urgence, la nécessité de faire semblant su ce sujet, tant la compréhension du phénomène gagne de larges secteurs de la population.
Ce pouvoir est dans les cordes et cet hommage du vice à la vertu en est la démonstration.
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